A-t-on raison de penser que saint-denys garneau et émile nelligan présentent, dans cage d'oiseau et les corbeaux, une même vision de la fatalité
Deuxièmement, Garneau et Nelligan ne réagissent pas de la même façon à la fatalité. Dans Cage d’oiseau, l’acceptation de la fatalité ressort. En effet, l’auteur semble triste, abattu mais il semble avoir une sorte d’acceptation : « C’est un oiseau tenu captif, La mort dans ma cage d’os. » (C.v.13-14). Le fait que l’auteur dise qu’il a un oiseau tenu captif, donc prisonnier, comme s’il ne pouvait sans départir mais qu’il l’accepte. L’auteur ne donne pas l’impression qu’il veut se battre pour survivre ou échapper à la fatalité. Par contre, l’auteur donne l’impression d’avoir longtemps vécu avec cette fatalité et de