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Tout d'abord, le document 1 nous le montre dès le début que la croissance économique en moyenne annuelle était de 4,5% entre 1980 et 1990, alors qu'entre1991 et 2007 elle n'était plus que de 1,4% au Japon, on remarque donc une baisse de 3,1%.
D'après le document « Japon, ''la décénnie perdue » », ce fort ralentissement serait dut à un éclatement qui aeut lieu au début des années 1990 avec la bulle immobilière et financière. On se rencontre qu'il se passe en faite une régulation de flexibilité des taux d'intérêts avec les prix du foncier de laville de Tokyo qui était au-dessus de toute la Californie. Grâce à cette hausse des investissements, la demande de la monnaie et les taux d'intérêts ont augmenté pendant la phase d'expansion.
Mais onremarque que l'immobilier s'éffondre ( de 40% ), le document 1 précise même que « C'est le début d'une spiral à la baisse ». C'est ici d'ailleurs qu'on retrouve une régulation de flexibilité des coûtsde production avec la phase de récession avec les entreprises surendettés pour la majorité d'elles.
En faite il y a en quelques sorte une instabilité de la croissance avec ces prix du foncier quifont directement penser aux impôts et donc ensuite à la prestation sociale qui va entraîner des revenus dispoonible des ménages mais tout en restreignant leurs dépenses pour au finale arriver à une... [à