devoir 3 cned
À l’école comme ailleurs, la dépendance à cet appareil électronique augmente sans cesse. Les jeunes comme les plus âgés sont touchés par ce fléau. On ne peut plus se passer de son téléphone, intelligent ou non. À l’école, les élèves sont déjà soumis à des règles strictes. Ce qui ne les empêche pas de tricher en classe sous les pupitres ou derrière leurs effets personnels. À la fin d’un cours, la vaste majorité sort le cellulaire pour dire à tous leurs amis que leur cours vient de se terminer. Auparavant, les étudiants demandaient des pauses pour aller fumer, maintenant c’est pour appeler. Il y a toujours une urgence pour justifier le coup de fil à donner ou le texto à envoyer. Mais c’est la même chose au volant, au cinéma, au théâtre, au restaurant, dans la rue, partout ! Il ne reste pas un seul endroit où l’appel du cellulaire ne se fait pas sentir. Il est triste de constater que bien des gens ne …afficher plus de contenu…
Peu de personnes. Comme à l’école, on se replie sur soi ou l’on ne veut pas voir les bassesses d’un collègue à l’endroit d’un autre. On est tous responsables de l’intimidation, à l’école comme ailleurs, lorsqu’on ferme les yeux sur les agissements grossiers et le manque de respect des individus entre eux. On ne laisse plus une personne ivre prendre le volant. Pourquoi tolère-t-on souvent que les gens s’insultent et s’apostrophent en notre présence ? Parce que c’est la vie qui est cruelle ? Parce qu’il faut s’endurcir la peau ? Parce qu’il ne faut pas être trop sensible aux remarques désobligeantes ? L’école est un reflet de la société. Les enfants imitent les grands. On a beau prêcher la tolérance, l’acceptation des différences, l’accueil des étrangers, l’entraide, quand on ne met pas de l’avant ce que l’on dit, il est difficile de