E-commerce de la musique
Depuis 1999, les ventes de disques ne cessent de diminuer. En effet, ce7e période correspond à la diffusion de plus importante d’internet et ainsi de nouvelles habitudes de consomma?on. L’arrivée de nouveaux médias (téléphonie, web, balladeurs numériques) et les habitudes de gratuités prises sur la toile (p2p, Napster) qu’on développés les internautes ont conduit les ventes de disques à un effondrement sans précédent et ont ainsi préfiguré une révolu?on dans le secteur de la musique. En 2003, les ventes de disque plongent avec une diminu?on de 7,6% (14,6% en France) du chiffre d’affaire ainsi qu’une de 9,1% d’unités vendues (11,5% en France)
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Pour faire face à ce7e détériora?on du marché du disque, de nouveaux acteurs apparaissent. Ainsi, en 2004 est lancé l’iTunes Store, une plateforme d’achat et de téléchargement de musique. On voit aussi apparaître de sites d’écoute de musique gratuits – d’abord illégaux, comme radioblogclub.com – puis légaux car payants les droits d’auteurs. Avec l’arrivée de ses sites, de nouveaux modèles économiques sont apparus. Ainsi, pour financer ces sites, deux modèles existent : un rémunérant le site à travers la publicité imposée au consommateur pendant son écoute, l’autre en faisant payer un forfait à ce dernier pour accéder à une bibliothèque illimitée de ?tres.
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Aujourd’hui, la législa?on commence à s’adapter à ces nouveaux modes de consomma?ons. Ainsi, le gouvernement français a fait passer la loi Hadopi contre le piratage musical et cinématographique. D’après Pascal Nège, directeur d’Universal France, ce7e loi a un impact très posi?f sur les ventes de CD et a réduit considérablement leur chute. De plus, le marché des disques est toujours en pleine évolu?on. Les téléchargement con?nuent à augmenter de manière sensible, ainsi que les consomma?ons de musiques en streaming (les offres gratuites de types deezer ou spo?fy) et le téléchargement de musiques sur les téléphones portables augment