e-commerce
Sommaire
Introduction 3
I. Les différents types de relations dans le e-commerce 4
II. Le comportement du e-consommateur 8
III. La gestion des bases de données dans le e-commerce 14
Conclusion 17
INTRODUCTION
Le e-commerce, aussi appelé commerce électronique, se définit par « l’ensemble des transactions commerciales – via désigne l'échange de biens, de services et d'informations- s’opérant à distance par le biais d’interfaces électroniques et digitales ».
D’abord réservé aux élites, le e-commerce c’est démocratisé avec l’expansion croissante des ordinateurs et d’Internet à travers le monde et les milieux sociaux, facilitant ainsi le commerce mondial. Aujourd’hui, s’ajoute aux ordinateurs classiques d’autres supports – smartphone, console, tablette et télévision connectée – utilisant la technologie Internet et d’autres non, certaines applications mobiles par exemple.
Le e-commerce est devenu la norme en France en termes de vente à distance, représentant près de 90% de cette dernière. Son chiffre d’affaires (C.A.) s’élève à 37,7 milliard d’euro en 2011, pour un total de plus de 100 000 sites marchands selon la Fevad. Le nombre d’employés du secteur du e-commerce atteint 66 000 – en équivalant temps plein- en France là même année.
Le e-commerce se compose de différents types de relations au sein du commerce électronique, se distinguant par les tenants et les aboutissants. Le B2B - business to business -, correspond au commerce électronique en entreprise, tandis que le B2C – business to consumer- se traduit par le commerce électronique d’une entreprise à destination des particuliers (à travers les sites Web marchands). Les échanges électroniques entre les entreprises privées & les gouvernements sont appelés B2G – business to government – et ceux entre les entreprises et leurs salariés, via l’Intranet, B2E – business to employee –. Une autre