Ce texte de Merleau Ponty est un texte réfutatif qui a pour fonction donc de contredire une thèse en argumentant. Ici l’auteur oppose deux vues classiques et se demande quel est le rapport de l’homme et son entourage naturel ou social. l’entourage naturel se définirait par le monde matériel qui nous entoure tandis que l’entourage social serait plutôt les autres hommes qui nous entourent.Ces deux vues sont totalement opposées et posent donc un problème pour répondre à la question d’origine. Ni l’une …afficher plus de contenu…

La liberté acosmique est donc le fait de penser que nous n’avons pas de lien, de relation avec l’univers. Selon cette pensée l’homme n’aurait pas de limite, n’ayant pas d’enveloppe corporel et donc impérissable. Enfin Merleau Ponty place l’homme par rapport au mondes pour ces deux thèses. “D’un côté l’homme est une partie du monde” il constitue le monde il n’est qu’une chose, qu’un objet l’homme est donc définie, déterminer par le monde qui l’entoure comme un meubles ou encore un arbre. La deuxième thèse définit l’homme comme “ une conscience constituante du monde” cela signifie que l’homme est acteur et non plus une …afficher plus de contenu…

Par ailleurs, les réfutations de chacune de ces “deux vues classiques" peuvent être éclaircies.En second lieu Merleau Ponty explicite pourquoi “aucune des ces deux vues n’est satisfaisante”.Tout d’abord l’homme ne peut pas être “une choses entre les choses” car si cela était le cas il ne serait pas capable de se considérer et d’avoir connaissance du monde qui l’entoure. Or l’homme est conscient de son entourage et de soi. D'après Descarte si nous avons cette vision des choses l’homme serait pareille à une “chaise ou comme cette table”. Il serait emprisonné dans son corps sans liberté de mouvement, il serait juste prédisposé à vivre comme cela. Or l’homme est un être “particulier” et