Chapitre 1 :
I L’impuissance des révolutionnaires à mettre en place un régime politique stable
1789-1914 : ère instable B Les causes de l’échec : le contresens originaire
Ecole Française : Joseph de Maistre
Ecole Britannique : Edmund Burke
1° La pensée contre-révolutionnaire
Louis de Bonald (1754-1840) né à Millart, émigre en Allemagne.
Joseph de Maistre (1753-1821) né en Savoie, il est franc-maçon.
2° Le contresens originel des constituants
Bonald et de Maistre disent que la révolution court à l’échec à cause d’une conviction sociale que l’homme ne peut exister en dehors d’un contrat social. La capacité de penser distingue l’homme de l’animal or la capacité de penser est toujours liée à l’usage d’une langue. Toute langue est par essence un contrat puisqu’il y a un accord entre le sens et les sons.
« Nous allons dissoudre le contrat social et en crée 1 nouveau. »
S’il n’y a plus de langue, il n’y a plus de pensée, plus de contrat, il n’y a donc plus d’homme. Les hommes n’existeraient plus. La nature de l’homme c’est la société. L’humanité ne possède pas le pouvoir constituant. Il faudrait des forces supérieures à celle de l’humanité. C Les causes de l’échec : le contresens quant à la fin
1° Burke (1729-1797) ou la pensée insulaire
Burke est un homme de gauche, il a été élu au parlement. Sa mère est Irlandaise et catholique. Il sera un défenseur de l’Irlande au Parlement ainsi que des Américains.
Warren Hastings est traîné en procès par Burke. Il était accusé par Burke de corruption.
1790 : publication de Réflexion sur la révolution de France

2° L’irréalisable obligation
Le nouveau contrat social ne peut faire l’unanimité donc la révolution court à l’échec et à la guerre civile.
II Les conséquences de l’échec de la révolution A La guerre civile
Furet et Richet écrivent : La révolution Française
La violence est impliquée par la révolution notamment par la rupture du contrat social.
1° Sa réalité
Lutte bleu (révolutionnaire) contre