I ii iii méditations
* Renverser général de ces opinions, recommencer tout depuis les premiers fondements : il s’appuie sur les principes même sur lesquels s’appuyaient toutes ses anciennes connaissances > pour découvrir quelque chose de certain ! * Le projet n’est pas de montrer que toutes ses connaissances sont fausses, mais il faut refuser son assentiment à ce qui n’est pas tout à fait certain * Les sens peuvent tromper * Argument du rêve * Assoupissement comparable à des images peintes qui n’ont être inventées qu’à la ressemblance des choses vraies (ex du peintre qui s’inspire de choses qui existent déjà, si c’est quelque de chose de nouveau ce sera forcément faux et fictif, mais les couleurs seront toujours vraies * Différence entre physique, astronomie, médecine > qui dépendent de la considération des choses composées sont donc douteuses, tandis que arithmétique, géométrie par exemple ne traitent que de choses très simples et très générales = quelque chose de certain et hors de doute = vérités transparentes * Il a dans l’esprit fixée depuis longtemps l’idée qu’un Dieu existe * Opinions accoutumées s’emparent de la crédulité > habitudes, idées familières = dangereux et détournent le jugement * Il suppose l’idée d’un Dieu « quelque génie méchant » « puissant et rusé » * Choses extérieures = « mystification de songes dont il s’est servi pour tendre des pièges à ma crédulité » : il se considère lui-même comme n’ayant rien
Seconde Méditation : De la nature de l’esprit humain. Propriété de sa connaissance sur celle du corps.
* Ecarter tout ce qui admet le moindre petit doute « Je suppose donc que tout ce que je vois est faux, je crois que rien n’a jamais existé » « Qu’est ce donc qui sera vrai » * Un dieu qui met en moi des pensées ? Ou je suis l’auteur de ses pensées ? Je suis tellement attachée à ce que corps et à ses sens que je ne peux me