L'aval en droit cambiaire
Selon François Joseph Cabral, chercheur au CRES, présentant les documents de cette recherche, le Sénégal est un bon élève, en ce qui concerne la passation des marchés publics, mais, il a décrié des niches de fraudes dans l’opportunité de la dépense et son exécution.
A ce titre, la justice est interpellée, avec la pléthore de réformes visant à améliorer le cadre juridique et l’architecture de la gouvernance des finances publiques, confronté à des limites qui subsistent à l’examen de variables clés de la gouvernance financière.
Même si le Sénégal possède la meilleure armature judiciaire de la sous-région, l’indépendance de la justice devrait être consacrée, de sorte à susciter l’émergence d’institutions, suffisamment, fortes pour faire face au manque de transparence; d’où la nécessité d’institutions départies de l’influence des acteurs politiques.
Interpellant le choix des hommes, M. Cabral propose des institutions fortes d’hommes animés par l’intérêt général. « A cette fin, les décideurs doivent, à posteriori, respecter l’indépendance de la justice et la doter de moyens conséquents, afin d’assurer un service de justice efficace, au service des citoyens. Les sanctions prévues par les textes doivent être appliquées, de sorte à dissuader les comportements illégaux et la culture de la fraude », fera-t-il savoir.
A propos de la corruption « au coût trop élevé pour la société», Cabral recommandera un impératif de «sanctions, au-delà de la publication des rapports et de la définition de règles claires et applicables à tous».
Entre autres recommandations, le présentateur a aussi fait état, pour une