L’Afrique Noire
L’Afrique Noire, notre continent, est progressivement phagocyté dans le processus de mondialisation d’un autre côté, les pouvoirs politique, économique et religieux mal gérés la réduit en miettes, en lambeaux.
Sa réflexion ne doit guère, être prise pour une panacée, ni pour une solution à son problème de la méfiance entre individus mais plutôt comme un soubresaut, un élan de critique sociale, de prise de conscience, d’interpellation.
N’est-il pas vrai ; en effet, là où l’on a cessé de réfléchir, de s’interroger, l’on a cessé de vivre ?
0.1 Problématique
De Prime abord ; partir de l’intersubjectivité, renoncer à la dissension comme mode de découverte d’autrui ; c’est poser les bases d’une anthropologie de la primauté de l’interaction, de la socialité, de la complémentarité et du dialogue1.
La lutte pour la vie, la pleine liberté et le véritable accomplissement humai n se font rechercher : on entend de partout la contestation de l’exploitation, de la chosifixation et de la déshumanisation de l’homme par l’homme.
Toute ce bataille, on le voit bien, est faite pour envisager un mieux être de l’homme de tout homme et de tout l’homme.
Cette bataille nous stimule, nous aussi à pouvoir repenser le fait réel de la relation entre « Je et Tu ».
E n outre, e n ce XXI siècles où la technologie prend des allures effrayantes pour l’univers et plus encore parce que la problématique de la valeur humaine à devenir secondaire, faudra-t-il continuer à rester à un niveau purement contemplatif de ce bouleversant événement ?l’autre est-il perçu comme –moi-même ?comme un partenaire ?
Pour y arriver, il serait important de mener une réflexion purement anthropologique à caractère social.
Par ailleurs, l’homme rappelons -l e ; est bel et bien un être complexe et pluriel. En tant que tel, il est appelé à collaborer pleinement avec autrui pour aboutir à leur pleine réalisation. Jean Lacroix affirme à ce propos qu’ « en réalité, c’est dans le