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« La Mort et le Bûcheron »
Intro
« La Mort et le Bûcheron » est la 16ème fable du 1er livre du recueil de LF. Ce fabuliste du 17ème siècle célèbre pour ces textes qui donnent vie au règne animal et végétale à également fait du règne humain, un lieu ou portait ses regards et ses critiques. Inspiré de la fable « La Mort et le Bûcheron » d’Esope, différentes transformations sont apportées → En quoi « La Mort et la Bûcheron » est-elle originale par rapports à Esope ?
1ère transformation
LF utilise des mètres variés de longueur décroissante, 10llbes dans les 10 premiers vers puis 8llbes + 10llbes (v11-16) puis 7llbes → donne vie au récit par variations rythmiques et appuie le discours véhiculé puisque l’7llbes (V. impair) souligne paradoxe ♀ /† énoncé dans la morale.
2ème transformation
Variation des rimes : Embrassées (v. 1à 4) Suivies (v. 5à 12) Croisées (fin)
Choix de la forme appuie la visée argumentative car on remarque que les rimes embrassées renforces l’accablement du bûcheron décrit dans les 4 1er v.
3ème transformation
Dvlpmt du récit Esope | La Fontaine | Présentation du prsng, sa situation. Evènement s’enchaînent rapidement : résumé en 3v. puis succède la rep. du vieillard → effet saisissant. On s’aperçoit que le récit est présent que pour introduire la leçon, finalité 1ère chez Esope. Fbl d’Esope constituée : récit+moralité | + d’infos, gestes décrit, destination précisée. Au contraire, LF donne vie au prsng en intégrant le monologue intérieur du bûcheron qui réfléchit sur sa condition → la fiction prend vie et l’histoire remplis son rôle d’exemple qui valide la morale. Fbl LF constituée : récit+discours variant même les discours rapportés, ainsi le monologue est au D.I.L. La fbl est d’autant + polyphonique que la moralité laisse entendre la voie du narrateur avec utilisation « nous » collectif au v.16 qui inclus le lecteur. |
LF s’inspire d’E. Mais il à sut par toutes ces