L'allegorie de la caverne de platon
Contexte et auteur
Socrate est le premier philosophe au V ème av. JC en Grèce antique. Alors que la cité de sparte se concentre plutôt sur l'art de la guerre, Athènes met au même niveau la sagesse et la guerre. C'est la ville de la démocratie, le pouvoir au peuple. Si c'est le peuple qui est souverain, qui est le peuple ? Les citoyens sont le peuples, donc les hommes, qui ont fait leur service militaire participent aux rites guerriers et qui ont des parents eux même athéniens (droit du sang). C'est une démocratie directe, pas de pouvoir indirect (il n'y a que 700 citoyens), ils participent tous aux décisions, aux lois... pour la première fois c'est le plus beau parleur qui l'emporte. C'est par les débats qu'on encourage. La parole est donc un élément de pouvoir. Apparaît alors les sophistes, spécialisés dans la rhétorique, l'art de construire de beaux discours. Les plus connus, Protagoras ou alors Gorgias.
Socrate invente la philosophie pour savoir ce qui est « vrai » contre les sophistes. Il était anti-sophiste.
Socrate était plutôt un homme du peuple et citoyen mais ne fais pas partie de l’élite. Il est obligé de travailler (ce qui est humiliant à l'époque) pour vivre. Il était potier ou militaire lors des campagnes. C'est un héros de guerre, courageux. Il est plutôt connu, à bonne orat et a sauvé beaucoup de vies. Il met donc à l'épreuve les grands savants de son époque en leur posant des questions. Il démasque les sophistes, du fait qu'ils parlent certes bien mais sans savoir grand-chose. C'est seulement une apparence. Ce sont des faux savoirs, des illusions. Son arme est donc la question. Il s'est faire, parce qu'il était brillant et qu'il a fait tomber des élites avec des questionnements. Il n'apporte pas toujours les réponses aux questions qu'il pose. Le but de démasquer le faux sans pour autant connaître le vrai, c'est permettre de ne pas être enfermé dans le faux.