Parce que dans la constitution figure encore aujourd’hui, la notion de la souveraineté, elle apparait dans art 3 de la constitution et renvoi à la souveraineté nationale il nous dit : ce principe de souveraineté réside essentiellement dans la nation. Elle appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par référendum. Art 4, il impose aux partis politiques, le respect des principes de démocraties et souveraineté nationale. Est mentionné dans le bloc de constitutionalité un attachement à la souveraineté étatique. L’Etat Français est unitaire donc la notion de souveraineté nationale (dans la nation, en interne) et étatique (se situe plus la relation entre l’état et l’extérieure) ne s’opposent pas, ne sont pas exclusives l’une de l’autre. Les Alinéas 14 et 15 préambule de 46 maintiennent l’idée de souveraineté étatique, ils précisent que la France fidèle à ses traditions, se conforme aux règles de droit public internationale. L’alinéa 15 : sous réserve de réciprocité, la France consent aux limites de souveraineté, nécessaire à l’organisation et à la défense de la paix, il montre le caractère de la France dans La construction Européenne. Cette influence limité sur la constitution car va être crée un nouveau titre dans la constitution à partir de 92 intitulé de l’union Européenne, art 88.1 de la constitution dit : la république participe à l’union européenne, constitué d’Etats, qui ont choisi librement d’exercer en commun certaines de leurs compétences en vertu du traité sur l’union européenne et du traité sur le fonctionnement de l’union tel qu’il résulte du traité de