Introduction : Nous nous sommes toujours posé des questions sur la liberté, ce qu’elle signifie, et ce que cela représente, sans jamais avoir de réponses concrètes. La définition la plus simple que l’on puisse y donner c’est de faire ce que l’on veut, et d’agir que par notre volonté. Depuis plusieurs siècles, chaque individu appartient à un peuple qui sous plusieurs angles différents est dirigé en quelque sorte par un Etat, un roi, ou toutes autres formes de pouvoir. Un Etat par définition est une institution politique qui n’est pas un pouvoir individualisé mais collectif qui permet de gérer un nombre de personnes indéfini sur un territoire donné. En faisant le lien entre ces deux notions, plusieurs questions peuvent être ainsi soulevées. Nous nous demanderons alors si l’Etat constitue-t-il un obstacle à la liberté ? Constitue-t-il une condition à cette liberté ? Et si l’Etat par ses rapports de force est-il un inconvénient ou bien un avantage à notre liberté ? Nous traiterons par la suite ces questions sous deux points de vue différents.

I) La liberté comme nous le savons tous, c’est de faire ce que l’on veut, ou l’on veut, de n’être obligé de rien et surtout de pouvoir agir selon notre libre arbitre. Cependant nous remarquons bien souvent que sous n’importe quelle formes de pouvoir (exemple : l’Etat) nous sommes parfois contraints par ce que l’on appelle des lois, des droits et des devoirs. C’est ici la base de la citoyenneté. S’il existe des lois, la définition même de la liberté ne peut être appliquée, ce qui signifie d’une certaine manière que nous sommes restreints dans nos faits et gestes (exemple : la majorité est à 18 ans et l’Etat nous déclare apte à être responsable de ce que l’on fait). S’il existe des droits, c’est que l’Etat nous dis ce que l’on peut faire et ce que l’on ne peut pas (exemple : le droit de vote, qui nous permet d’élire un président, un maire ou autre sur une palette de personne désigné par l’Etat lui-même). Et s’il existe des