L'humanité est belle !

Une exclamative tirée d'une pièce de théâtre dont le nom ne me reviens plus qui était la citation, le point de départ pour un essai dialectique.

Ceux que me connaissent, du moins mes idées, ont surement devinés que j'en avait des choses à dire juste à partir de ces trois mots...
Nul besoin d'inspiration d'autant plus que j'avais achevé il y avait de cela quelques semaines un merveilleux essai d'humour noir du philosophe et écologiste engagé et enragé ( tel qu'il se présente lui même) en l'espace de quelques heures. C'est "L'HUMANITE DISPARAITRA, bon débarrras !" d'Yves paccalet.
Encore un écrivain auquel j'adhére totalement à ses idées, d'ailleurs je remarque que mes choix de livres devraient être un peu plus ouverts du genre je devrais essayer de choisir un livre totalement aux antipodes de mes propres idées mais cela m'est difficile car je suis toujours attirée comme par je ne sais quel enchantement devant ceux qui me parlent, ceux qui rejoignent mes propres idées...

J'essayerais et je vous dirais comment s'est déroulée l'expérience !

Mais revenons à nos moutons, dans son livre il dit avoir mis une trentaine d'années pour s'apercevoir que l'humanité n'a aucun avenir, que l'homme est un ravageur imprévoyant, un destructeur invétéré, une espèce violente envers les autres comme envers elle-même, en gros un danger pour tout ce qui respire !
Dieu, merci (façon de parler) je n'ai pas eu besoin d'attendre 30 ans d'espoir en l'Homme pour en être finalement déçue...
Il m'arrivait même de croire que j'étais misanthrope (mais dans son sens le plus littéral!!)
Mon esprit écologiste à toujours eu tendance à énervé certain, dont ma propre mère (c'est abérrant elle ne recycle toujours pas, engloutit des tonnes d'energie dont elle n'a aucun besoin et le pire surconsomme etc... soit ), elle me disait toujours que j'étais une rêveuse, je n'avais que 8 ans lorsque ce sujet m'interpellait au plus haut point lui posant des questions