Sujet : Dans le magazine « l’Entreprise », une publicité apparemment banale dit : « Refuser tous contacts avec l’extérieur, c’est le meilleur moyen d’être tout petit à l’intérieur », et une autre stipule : « C’est toujours des autres que l’on apprend ». A la lumière de l’actualité, dites comment les actions collectives pourront-elles faire entrer les pays africains dans le capitalisme industriel et la révolution informationnelle ?
Démontre que si notre pays est notre patrie, l’intégration régionale est notre avenir.

Depuis la floraison des indépendances dans les années soixante (60), les pays africains rencontrent des difficultés à trouver leur place dans le concert des nations. Plusieurs thérapies vont être tentées pour guérir l’Afrique du marasme économies où elle est plongée, des plans d’ajustement structurelle, concoctés par le Fonds Monétaire International, à la mise en place du NEPAD (nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique). Parmi ces différentes solutions adoptées, l’intégration régionale semble porteuse d’espoir. La configuration actuelle du globe permet de constater une multiplicité de regroupement Etatique à vocation économique, traduisant ainsi la diversité des situations et des choix économiques des gouvernements.
L’intégration économique régionale est le fait pour deux ou plusieurs Etats appartenant à une même région géographique de chercher à éliminer les barrières discriminatoires qui existent entre eux, afin d’établir un espace économique unique. Ce processus touche alors divers domaines. Il y a une dimension commerciale, financière, économique, monétaire, politique, sociale et culturelle. Cependant, face aux fortunes diverses des organisations économiques et surtout avec les crises économiques à répétition, l’utilité d’une intégration est sujette à débat dans bien des pays. Certains observateurs estiment que l’intégration économique constitue un facteur de développement alors que d’autres soutiennent le contraire. Quels