L'oeuvre zola
Chapitre I
→ Juillet 1862, 2 heures du matin
Une jeune fille est devant chez Claude Lantier, elle lui parle d'un accident, d'un train en retard et d'un cocher brutal. Claude, méfiant, lui dit d'abord qu'il ne peut rien faire pour elle, puis se résigne en voyant la pluie et l'orage, lui dit qu'elle peut dormir chez lui.
Elle insiste pour aller à Passy, puis se résigne également et accepte la proposition de Claude. Elle paraît intimidée par Claude. Ils se couchent et passent tous les deux une nuit agitée (insomnies...). Au matin, Claude se réveille et, décide après maintes réflexions de dessiner la jeune fille. Elle lui inspire quelque chose pour son tableau. Elle se réveille d'abord effrayée par l'activité de Claude puis se prête à son jeu et se laisse dessiner. On apprend qu'elle s'appelle Christine. Ensuie, elle part et ne laisse pas Claude indifférent.
Chapitre 2
→ Midi Pierre arrive chez Claude, en effet il pose pour un des personnages du tableau. Pendant ce temps, ils parlent de leur enfance à Plassans ; ils sont 3 proches amis : Louis Dubuche, Pierre Sandoz et Claude Lantier. Les deux hommes se remémore des souvenirs avec une certaine nostalgie, notamment ceux du collège, qui était en fait un couvent.
A cette époque, ils étaient passionnés par la nature et adoraient la marche. Ensuite, on apprend que Claude a été à l'atelier de Berthou pendant 6 mois, mais que c'était trop classique et qu'il préfère l'atelier libre à l’École. Quant à Sandoz, il travaille à la mairie tandis que Dubuche fait de petits travaux d'architecte. Le premier maître de Claude est le père Belloque, capitaine manchot de Plassans. On comprend que Claude est contre le classicisme (sauf Ingres, Courbet et Delacroix), il veut une peinture nouvelle, plus claire, alors Pierre et Claude s'affolent de gloire. Claude termine son ébauche avec réussite : Le nom du tableau est « Plein Air ». Par la suite, Dubuche fait irruption, le tableau le gène