Amitié et douleurs de la séparation

Depuis que je quittais mon pays d’origine, mon amie commençait à souffrir de la diminution du sang. Elle se nommait Sharon, elle était la plus travailleuse chez eux et elle avait deux ans de moins que moi. Elle était parmi mes meilleurs amis que j’avais au Congo, elle était toujours souriante et gentille envers moi. En aucun cas nous nous sommes déjà changées de paroles, même avant que je la laisse, elle me posait toujours cette question : Rachel, lorsque tu va partir d’ici, m’oublieras tu? De ce fait, je lui répondais que je ne t’oublierais jamais de ma vie partout ou j’irais. Malgré tout cette amitié, un certain vendredi, j’entendu une affreuse nouvelle venant du Congo que ma très chère amie venait de décéder suite à cette maladie qui l’avait beaucoup tourmenté. Cette mélancolique nouvelle me bouleversa durant tous les jours. J’étais très émue et affligé, cette journée me fut la plus maussade et la plus longue pour ces vacances d’été dernier. Je sanglotais à tue- tète presque chaque jours, pensant sur sa vie et ses bien fais envers moi. Chez moi, je ne pouvais même pas manger ou faire quelque chose, je n’effectuais rien, et je n’allais pas encore dehors pendant les jours, ni même les nuits. Ce décès m’avait vraiment chagriné de telle manière que Je m’enfermais seul dans ma chambre. Mais, nonobstant toute cette pleurnicherie aucunes choses ne se changèrent. Subséquemment, ma mère me réconfortait et me disait de ne pas trop m’ennuyer, car c’est ça la vie des humains sur la terre, il y’a les uns qui naissent et les autres qui meurent et la vie est faite ainsi si non la terre serait remplie. Après quelques semaines je commençais à sortir, et vaguer à mes occupations hebdomadaires. C’était ainsi que je me débarrassais de cette drame qui me rendait soucieuse et