L’immigration et la société française au xxe siècle
Tout d’abord, nous évoquerons les trois vagues d’immigrations, avant d’étudier, l’immigration et ses facteurs, puis nous terminerons par l’analyse d’être immigré en France.
Il y a trois vagues d’immigrations : la première vague : de 1851 à 1911, on a une faible croissance du nombre d’étrangers.
La deuxième vague : de 1921 à 1936 on constate un pic du nombre d’étrangers dans l’entre-guerre.
La troisième vague : De 1946 à 1990, où une forte croissance puis un léger déclin se fait ressentir.
Lors de la première vague, les immigrés viennent de pays voisin (Italien, Belge, Allemand et espagnol). Tandis qu’en 1931, il y a des immigrés d’Europe de l’Est (Italien, Belge, polonais et espagnol). En 1975, la vague comprend des immigrés venant d’autres continents (Algérien). On a une immigration car les immigrés sont attirés par les salaires élevés. Ils viennent pour la main d’œuvre qui n’est pas chère. Cependant, les conditions de vie sont pitoyables, ces immigrés vivent dans des bidonvilles.
L’immigration est due à l’industrialisation et à l’industrialisation est due à l’immigration car les paysans ne veulent pas travailler à l’usine. A début du XXe siècle, on a une faible croissance démographique : un manque de main d’œuvre se fait ressentir et la population préfère l’agriculture. Les lois de 1977 à 78 permettent le regroupement familial. L’immigration est de plus en plus clandestine car elle a de plus en plus de contrôlée. Cette immigration est également de transit (elle passe par la France pour aller ailleurs, exemple : Royaume-Uni).
Les conditions de vie des immigré est misérable, ils vivent dans des habitats précaires qui sont des bidonvilles et en communauté, repliés sur eux-mêmes car ils ne parlent pas français. Ils sont également mal-vu car ils reçoivent de l’aide de la mafia. Donc ces immigrés ont une grande difficulté d’intégration. Malgré tout, une loi de 1889 donne le droit du sol.