L'africain
Alentour,il n'y avait aucun pied.Sur la carapace dure,rien que le claquement d'un millier de (synecdoque)coques dures(metaphore souliers).L'homme n'avait -il plus de pieds de chair? Une femme passa, dont la chair rose des mollets se durcissait monstrueusement en deux noires conques terminales,a ras d'asphalte.Depuis que j'avais debarque, je n'avais pas vu un seul pied(synecdoque: pied d'homme). La maree des conques sur l'etendue de l'asphalte courait a ras.Tout autour, du sol au faite des immeubles,la coquille nue et sonore de la pierre faisait de la rue une vasque de granit.Cette vallee de pierre etait parcourue, dans son axe , par un fantastique fleuve de mecaniques enragees.Jamais , autant que ce jour-la, les voitures automobiles-que je connaissais cependant- ne m'etaient apparues ainsi souveraines et enragees,si sournoises bien qu'obeissantes encore.Sur le haut du pave qu'elles tenaient pas un etre humain qui