L'aliénation au québec
Tout d’abord, les poèmes de Michelle Lalonde et Marco Micone peuvent être considérés identiques sur la question de l’aliénation puisqu’ils décrivent tous les deux l’histoire d’un peuple qui tente de résister à son assimilation pour préserver à tout coût sa culture. Dans «Speak white» les Québécois francophones, bien que majoritaires au Québec, se font imposer des valeurs anglo-saxonnes par la minorité anglophone qui détient le pouvoir. Même si le peuple québécois se fait imposer des valeurs différentes aux siennes, il va tout faire pour conserver sa cultures et sa langue par exemple : «mais ne reprochons à personne/d’avoir le monopole/ de la correction de langage/ dans la langue douce de shakespeare/ avec l’accent de Longfellow/ Ligne 70 a 75» De plus, «Speak what» illustre que les immigrants désirent aussi préserver perdre leur identité même s’ils sont venus s’installer au Québec. Ils s’opposent à leur assimilation, bien qu’ils souhaitent s’intégrer à notre