L’Antisémitisme pendant l’Allemagne nazie

L’antisémitisme désigne un sentiment systématique d’aversion envers les juifs en tant que peuple ou « race », supposée inférieur. Cette hostilité qui remonte à l’Antiquité païenne, a pour origine leur fidélité à seulement un Dieu unique. Ils furent ensuite accusés de la mort de Jésus-Christ, puis cette oppression continua avec le régime nazi, qui tournera à un génocide.
En effet, l’antisémitisme en Allemagne nazie à été instauré dès l’arrivée du chancelier Hitler le 30 janvier 1933. Déjà dans « Mein Kampf », Adolf Hitler avait fait une classification des races et avait écrit des propos racistes et antisémites tels que : « Les races humaines sont inégales. L’histoire établit avec une effroyable évidence que, lorsque l’Aryen a mélangé son sang avec celui de peuples inférieurs, le résultat de ce mélange a été la ruine du peuple allemand. Le juif est celui qui pousse le plus ardemment à la destruction radicale de l’Allemagne. »
Alors, afin de maintenir la pureté de la race des seigneurs, les Aryens : grands, blonds aux yeux bleus, il met en place une politique raciste et antisémite. Il décide alors de mettre à l’écart tous ceux qu’il considère comme des sous-hommes (les slaves des pays de l’est), les dégénérés (homosexuels, malade mentaux ou handicapé moteurs), les Tziganes, les arabes, les noirs et enfin les juifs, comparés à des parasites nuisible.
Dès 1934, Hitler devient le « Reichsführer », ou plus littéralement, « le guide de l’Empire », et commence sa politique antisémite, avec par exemple le boycott des magasins juifs. Il construit aussi l’un des premiers grands camps de concentration, Dachau, ou les opposants politiques, tout d’abord, puis plus tard, les Juifs de Bavière, les Tziganes, les homosexuels et les prisonniers de guerres y été enfermés.
Au cours de l’année 1935, il met en place les lois de Nuremberg qui vise à restreindre les droits des Juifs, comme par l’interdiction de pratiquer certains métiers