En plein dans la crise économique mondiale et aussi au centre d’une société de consommation, le monde et le commerce sont devenus plus sophistiqués depuis l'invention du concept de l’argent. Ce dernier facilite la vie. Tout le monde en dépend, il est certainement le moyen d’échange le plus sûr et le plus utilisé.
L’argent est un moyen d’assouvir nos désirs en nous permettant de développer notre condition et en nous faisant miroiter au bonheur. Il paraît naturel d’aimer l’argent, les rapports sociaux sont étalonnés par cette valeur. L’argent est un moyen permettant d’acheter ou de vendre des objets ou des services. Mais il semble bel et bien indispensable pour espérer progresser et améliorer nos conditions de vie. De plus, l’argent permet de flatter notre égo et nous sentir vivant.

Mais l’argent peut être source de malheur si on prend l’exemple d’Harpagon, dans l’avare de Molière. Il voit dans l’argent un plaisir et un pouvoir. L’argent devient un but et pas un moyen. Son avarice l’amène à n’écouter que ses désirs et à ignorer la morale. Lorsqu’il découvre que sa cassette a disparu, Harpagon préfère sacrifier sa vie de famille et lui-même plutôt que son argent.
Le bonheur serait-il dans le court moment de la dépense ? Le dépensier veut le croire. Mais il est condamné dépenser tout au long de sa vie pour être heureux. Pour le prodigue l’argent est à la fois un bonheur et un moyen qui doit être dépensé par obsessions.
Aussi, on peu refuser l’argent par principe moral. L’ascète croit que le bonheur est dans la pauvreté. En imaginant la fin de l’argent, il détruit les actes économiques, plus de salaire après l’effort, pas récompense après des actes d’entreprises. Cette utopie ne repose pas sur la réalité de la société dans laquelle on vit.
En conclusion, comme nous l’avons vu, l’argent fait partie intégrante de notre société. Il est le moyen de réaliser ses désirs et fait partie de l’humanité.
Malheur ou bonheur, la réponse se trouve dans l’usage que