L'assommoir
Emprunt Tardif (1337) au latin classique famillia, dérivé de famulus « serviteur » , « ensemble de tous ceux qui vivent sous le même toit »
Il n’y a pas une définition unique de la famille. D’une part, les formes familiales sont diverses, de mariages a la cohabitation, de la famille classique a la famille monoparentale et a la famille recomposée. Au moment de la naissance, du mariage, de la mort, la famille se donne en représentation sous des contours différents.
La famille, pour l’état civil, se distingue également de celle mise en œuvre par les politiques sociales. Elle est donc un groupe d’appartenance flexible.
La famille concerne une unité élémentaire fondamentale de la vie en société où elle permet une large part de la reproduction sociale. On peut dire qu’elle est un groupe dans lequel les individus se socialisent et apprenne à vivre en socialisent et apprennent à vivre en société.
La famille est aussi une unité de base dans le cadre duquel sont réalisées une grande part de ces opérations quotidiennes essentielles des individus que sont leur nourriture, leur repos, leur éducation. La famille est valorisée dans les sociétés traditionnelles car représentant l'unité de base de la société, mais aussi le principal lieu d'éducation et de solidarité. La famille est également un cadre d'évolution et de développement des qualités des parents.
Le ménage et la famille foyer sont fondés sur la communauté de vie, c’est donc une famille beaucoup plus restreinte. La parenté ainsi définie se précise par ce qu’on appel la ligne et le degré
Dans le code de 1804 il y a une triple inégalité. Premièrement une inégalité entre le mari et la femme, le mari dirige la femme (la femme est la propriété de l’homme comme l’arbre fruitier et la propriété du jardinier).Cette direction touche d’abord la personne de la femme, suivant les articles 213 et 214 du code Napoléon, la femme doit obéissance a son mari, elle le suit la où il juge bon d’habité.