L'automne d'alphonse de lamartine
Méditations poétiques
1823
la Mort de Socrate
Nouvelles Méditations poétiques
1825
le dernier chant du pèlerinage dHarold .
1828
Novissima Verba
1830
Harmonies poétiques et religieuses
1831
3 Odes politiques : contre la peine de Mort, A Némesis, et les révolutions un essai intitulé Sur la politique rationnelle
1834
Les Destinées de la poésie
1835
Voyage en Orient
1836
Jocelyn
1838
la Chute d'un Ange
1839
Recueillements poétiques
1847
Histoire des Girondins
1849
Les Confidences
Raphaël
Histoire de la Révolution de 1848
1851
Nouvelles confidences
1853
Visions
1854
Histoire de la Turquie
1855
Histoire de la Russie
1863
Mémoires Politiques
1865
Portraits et Biographies
1870
Mémoires Inédits (posthume)
1871
Manuscrit de ma Mère (posthume)
1873
Poésies inédites (posthume)
Correspondances (posthume)
Il naît à Mâcon le 21 octobre 1790. Son père, Pierre de Lamartine (21 septembre 1752 - Mâcon, 1840) est seigneur, chevalier de Pratz, capitaine au régiment Dauphin-cavalerie, et sa mère Alix des Roys, "fille de l'intendant général des finances de M. le duc d'Orléans."[12] Les dix premières années, passées à la campagne à Milly, sont influencées par la nature, ses sœurs, sa mère, et surtout par l'abbé Dumont[13], curé de Bussières, qui lui insuffle une grande ferveur religieuse, renforcée par les années qu'il passe au collège de Belley, pendant lesquelles il lit Chateaubriand, Virgile et Horace.
De retour à Milly, il commence à écrire de la poésie sous l'inspiration de l'Ossian de Baour-Lormian. Puis, après une aventure sentimentale qui inquiète ses parents, il entame un voyage en Italie (1811-1812) pendant lequel il rencontre une jeune Napolitaine qui sera le modèle de sa Graziella. Il s'essaye à la tragédie (Médée) et écrit ses premières élégies.
En 1814, il est