L'ayers rock a l'epreuve du tourisme

1827 mots 8 pages
II. Zoom sur l’exemple d’Uluru : la mise en valeur d’une culture « locale »

- Faire d’Uluru un site touristique : les aménagements urbains, économiques, techniques et sociaux. Les aspects destructeurs de l’activité touristique (non respect des coutumes aborigènes comme escalader Ayers Rock,…) + zoom sur culture aborigène

Uluru se situe au sud-ouest du Territoire du Nord, au cœur de l'outback australien, au sein du parc national d'Uluru-Kata Tjuta. Il a une hauteur de 348 mètres par rapport au sol et une altitude de 863 mètres par rapport au niveau de la mer, bien qu'il s'enfonce profondément sous terre. Il a un périmètre de 9,4 km et une longueur de 2,5 km.

En 1920 Uluru est inclus dans la réserve aborigène car considéré comme sans réelle valeur économique. En 1940 : un certain développement de l’activité touristique permet au site de prendre de l’importance. Par exemple, une route d’accès est construite depuis Alice Springs. En 1958 : le site devient Parc National. La fréquentation du site est de 110 000 touristes en 1984-85, nombre multiplié par deux pour la saison 1990-91.

Le développement des infrastructures touristiques au pied d'Uluru a donc commencé dans les années 1940 mais a rapidement causé des dommages environnementaux. Pour cette raison, il a été décidé au début des années 1970 de déplacer toutes les installations en dehors du parc. En 1975, un terrain de 104 km2 au-delà de sa limite septentrionale, à 15 kilomètres du rocher, a été attribué pour héberger et permettre le développement des structures d'accueil et la construction d'un aérodrome. Ce lieu, définitivement ouvert en 1984, s'appelle Yulara. Yulara est le lieu d’hébergement des visiteurs d’Uluru situé a 18 km d’Uluru, mais il ne s’agit pas simplement d’un club de vacances pour touristes, même s’il est isolé, ce complexe hotellier va du camping au palace, ce lieu est aussi un lieu de population permanente, travaillant sur place, fréquentant la crèche, le terrain de cricket, les

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