L'eau, un besoin
Les romans réalistes et naturalistes sont des miroirs de la réalité
La représentation exacte du temps, des lieux et de la vie quotidienne
La réalité est reflétée avec le style qu'adoptent les auteurs
Cependant la réalité n'est pas complètement représentée mais transformée
Un choix s'impose
Ces romans sont porteurs d'une critique
Les romans réalistes et naturalistes sont donc une conciliation de réel et d'imaginaire
L'art du roman
L'illusion précise du vrai
Résumé de l'exposé
La seconde moitié du XIXe siècle voit se développer une tendance littéraire : le réalisme. Elle vise à donner une représentation exacte, complète et éclairante de la réalité. C’est dans ce contexte que Stendhal dit, dans son roman Le Rouge et le Noir : « Un roman, c’est un miroir que l’on promène le long d’un chemin ». Cependant, il écrit aussi, paradoxalement, « toute œuvre d’art est un beau mensonge ». Ceci nous conduit à nous demander si les romans réalistes et naturalistes représentent vraiment la réalité exacte ou non.
Plus d’extraits de Le roman, "un miroir que l'on promène le long d'un chemin" ?
[...] On peut par exemple voir que Flaubert n’est pas impersonnel dans Mme Bovary. En effet, dans le premier chapitre, pour la description de Charles, il adopte une narration à la première personne du pluriel pour essayer de rester impersonnel. Cependant, cette description révèle en réalité son opinion, on le voit notamment avec le lexique péjoratif qu’il utilise et la comparaison de Charles à un cheval. On voit également son jugement lors de la noce Emma, où il présente la scène comme ridicule. [...]
[...] Le roman, "un miroir que l'on promène le long d'un chemin" ? La seconde moitié du XIXe siècle voit se développer une tendance littéraire : le réalisme. Elle vise à donner une représentation exacte, complète et éclairante de la réalité. C’est dans ce contexte que Stendhal dit, dans son roman Le Rouge et le Noir : « Un