Afin de ralentir la perte de biodiversité, les biologistes de la conservation mettent en application leurs connaissances de la dynamique des paysages pour établir des zones protégées. Le mandat de conservation du Parc de la Gatineau est de protéger la biodiversité, les zones qui pourraient avoir une continuité écologique ainsi que les espèces en péril. De plus, le mandat consiste limiter les activités humaines et la déstruction des habitats. Finalement, il faut connaitre les bases d'écosystème et d'intégrité écologique pour bien gérer le Parc. On peut ainsi affirmer que les madats sont semblables puisque le but principale de chacun est de protéger la biodiversité. De plus, le Parc de la Gatineau est une zone protégée puisque plusieurs manoeuvres ont été mises en place pour cela, comme la construction de sentiers afin d'éviter de piétiner sur la végétation qui se retrouve sur le sol.Tout d'abord, il y a trois composantes de la biodiversité soit la diversité génétique, la diversité des espèces ainsi que la diversité des écosystèmes. Afin de conserver ses trois composantes la CCN a restaurer l'aménagement du lac pink pour que celui-ci soit conforme. Premièrement, pour que la végétation détruite se regénère et pour éviter l'érosion, il ont contruit des sentier en bois et des belvédères pour contrôler les allers et venus des visiteurs. Cette intervention protège la diversité des écosystèmes. Aussi, des panneaux d'interprétation ont été installés pour ne pas que les marcheurs s'aventurent ailleurs que le chemin déterminé. Cela évite la pertubation des nombreuses espèces qui abrite le parc. Cette mesure protège la diverité des espèces et géntique. Ensuite, la baignade dans le lac ayant été interdite comprend les trois composantes. Finalement, la CCN veut réduire l'activité humaine. C'est-à-dire, minimiser la présence des touristes sur le site. Encore une fois, cela englobe les trois