L'education sentimentale
Intro :
Le poème « mais si faut-il mourir » est paru en 1588. C’est un sonnet en alexandrin issu du mouvement baroque, ou Sponde développe le thème de la mort. Il s’appuie sur un texte imaginé. Jean de Sponde traite le thème de l’instabilité de la vie. Il s’y rattache le thème fréquent de la mort avec l’idée que « la vie est un éclair ». Dans ce dernier recueil, il évoque la mort à l’œuvre dans le monde.
Axe :
1)Le texte propose une morale tragique lié au baroque :
Dans le texte de spondée on peut trouver de l’opposition telle que : « mais » au ver 1 envers la certitude de la mort. Mort présente partout, dans le nature, dans les productions humaines.
Des énumération ou accumulation d’éléments naturels ou fabriqués qui sont promis a la mort. La fleurs symbolise le caractère éphémère de la vie et de la beauté. Le flambeau représente le feu, la neige l’eternel et les flots l’eau. Toutes ces images fonctionnent comme des métaphores allégoriques de la mort. La mort est toujours la, la mort est partout. Il ya plusieurs connotations religieuse, il fait allusion a dieu qui est la seule personne en qui il faut croire et se fier.
On trouve un registre tragique : champs lexical de la mort : « mourir », « mort ». Tout cesi est caractéristique du baroque
2) Forme particulière du sonnet
- Structure claire, sonnet -> brisé par cette époque, qui montre le désordre.
- On retrouve toujours la même structure : sujet + verbe + complément. C’est régulier, répétitif. « Flambeau » : métaphorique, qui va s’éteindre un jour.
- Du général au particulier, v. 1 à 14 -> processus d’anéantissement
- 1ère hémistiche vers 1 et 2ème hémistiche vers 14 sont identiques : structure circulaire en boucle qui peut symboliser la fatalité de la mort.
- Rimes masculines : syllabes accentués ; rimes embrassées, suivies et croisées -> montre le désordre.
Conclusion :
Jean de Sponde traduit la place de la mort de la religion ? dans un monde changeant , montrant