Une trop grande implication de la subjectivité de l'historien dans son travail entrainerait une mauvise interprétationdes faits. Le fait historique est (re)construit par l'histoire, le passé doit etre compris , saisit, et donc rejoindre la subjectivité étudiée ( par l'empathie !!). cette interprétaion inévitable ne limite-t-elle pas la valeur objective de l'histoire ? Toutes conscience de l'histoire est colnscience dans l'histoire: nous sommes confrontés au perspectivisme ( relativisme )( = c'est a dire , saisir le passé a partir de notre propre présent, "prisonnier " d'une illusion rétrospective . Ainsi, l'historien est situé dans l'histoire, il nepeut pas s'extraire du présent et ne peut pas etre " d'aucun temps ni déuaun pays " (= Fénélon ) . On tend à valoriser ou a dévaloriser quelques éléments du passé en foction du présent ( par exemple il y a 200 ans l'aspect religieux était plus important que l'aspect économique ), et donc cela trouble notre vision que l'on a du passé .
" L'historien ne se confond pas avec un moi transcendental " ( Raymond Aron ) : un moi qui s'extrait de son appartenance à l'expérience, au présent. Cependant l'homme à la possibilité de prendre du recul sur sa popre subjectivité, faire un pas de coté sr tout e qui nouc conditionne ( L'histoire , l'époque , les valeurs .... ) . il a la possibilité de réfléchir: c'est la ( subjectivité de ) REFLEXION . Nous avons le pouvoirde se dégager du médiat, de réfléchir. On note une différence entre deux formes de subjectivités :

1) La Subjectivité Empirique ( subjectivité " en nous " " par l'expérience " ). Celle ci est immédiate, elle est ce qu'on sent , ce qu'on vit , ce qui a été expérimeté par nous ( les cryances, les opinions, les gouts ... )

Mais nous avons la possibilité de se détacher de cette subjectivité empirique par une autre forme de subjectivité .

2) La subjectivité de Réflexion : on s'arrache à l'immédiat, c'est un peu le " Je pense " de Descartes. Nous nous efforçons