L'hiver de force
Ce dernier paragraphe est très pédant et, qui pis est, n'a rien à voir ou presque avec ce qui a vraiment eu lieu. On était en train de déchirer nos fascicules d'Alpha, si tendrement acquis, lus, conservés, reliés. Nicole était au bord des larmes :
- La, ça y est, il nous reste plus rien...
J'ai répondu, à tout hasard, pour la rassurer :
- Voyons voyons, il nous reste... ce qu'on va faire.
- Qu'est-ce qui va rester après ce qu'on va faire... ?
- Si on le jette encore, si on s'accroche pas, si on s'en souvient même plus, il va encore rester rien. C'est-à-dire qu'il va rester encore toute la place, c'est-à-dire notre pleine