L'homme à la lèvre tordue
Le narrateur fait la description d’un endroit sordide où il y a des drogués. Effectivement, l’endroit est situé dans une « ignoble ruelle » qui mène à un « passage noir » où se trouve une longue pièce basse ». Ce champ lexical d’étrangeté décrit le quartier non sécuritaire. Le bouge se trouve dans une petite rue étroite et insalubre qui conduit à un chemin sombre où se trouve une grande unité descendante. Également, le narrateur emploie l’énumération « des corps gisant dans des poses étranges et fantastiques, des épaules voûtées, des genoux repliés, des têtes rejetées en arrière, des mentons qui se dressaient vers le plafond et ça et là un œil sombre, vitreux » pour décrire l’état des gens qui fréquentent ce milieu étant des êtres étranges, piteux, d’un extrême mal en point. De plus, le narrateur utilise l’antithèse « de ces ombres noires scintillaient » pour décrire l’état de surdose de ses individus. Effectivement, le narrateur décrit ces gens étant des silhouettes sombres et obscures. Leurs yeux rouge qui brillent et parfois ternes étaient les seules choses visibles dans la noirceur de leurs images.
Il y a 4 stades chez l'enfant; sensori-moteur (0-2 ans), préopératoire (2-7 ans), opératoire concret (7-12 ans) et formelle (12-16 ans). Dans le stade préopératoire, il y a la fonction symbolique. Ce dernier est ce qu'on appel le plus souvent, jeu dramatique ou le jeu du faire semblant. Le cerveau d'un enfant n'est pas assez développer pour critiquer le jeu du semblant, car ses pensées sont limitées. Donc, le fait qu'un enfant joue à n'importe quel jeu dramatique, par exemple, imiter le mendiant, ne pourra pas nuire à son développement cognitif. Également, le but de l'enfant s’est de s'amuser et d’avoir du plaisir. Par contre, si quelqu'un décide d'interrompre brusquement l'enfant pendant un jeu symbolique cela peut avoir