L'huitre de ponge
I. Description d’une huître
1. Extérieur d’une huître Description concise mais complète : description en référence à un galet, acumulation de comparatifs ; découverte sensorielle (taille, toucher, aspect). Description extérieure assez négative : quasi laideur de l’huître ; allitération en G, en R ; comparaison avec un galet, à la faveur de ce dernier ; hostilité, adverbe « opiniâtrement » ; oxymore « brillament blanchâtre », qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. Si l’observateur n’insiste pas, seule perception = négative ; préjugé.
2. Mode d’emploi pour ouvrir l’huître => passage de lextérieur à l’intérieur ; dualité qui se dessine. Opposition ds le passage externe/interne : connecteur logique « pourtant » ; marche à suivre précise avec énumaration de verbes à l’infinitif l. 3-4, « il faut ». Ouverture difficile, voire dangereuse : adjuvant, « couteau ébréché et peu franc » ; deux rythmes ternaires ; allitérations en CH, R, K ; chp lexical douleur ; effet de syncope pour mimer l’action difficile, désagréable, irrégulière de l’écailleur.
3. L’intérieur de l’huître Introduction par « À l’intérieur ». Dualité : beauté (répétition « nacre », chp lexical délicatesse) + laideur, répulsive (chp lexical du dégoûtant, du fétide ; différents sens concernés ; allitération en F, en V ; répétition du suffixe péjoratif –âtre) ; oxymore « dentelle noirâtre ». => ambivalence ; dégoûtant mais fascinant ; mélange