L'influence britannique dans l'art canadien
L’empire britannique a toujours eu une très grande influence dans le monde entier. À son apogée, en 1922, ses sujets forment le quart de la population mondiale. Aujourd’hui, même si son emprise est moins forte, on retrouve encore des signes de son influence passée, surtout dans l’art. On peut les observer par l’entremise de l’origine des peintres et des sujets représentés et des scènes dépeintes (symboles ou coutumes britanniques).
Beaucoup des oeuvres peintes représentent des personnalités britanniques. On y retrouve des portraits de la reine Victoria et autres représentants de la royauté britannique. Aussi, on peut y observer des portraits de sujet d’importance moins capitale comme le portrait de Thomas Taylor, un philosophe anglais peint vers 1820 par Thomas Lawrence ou celui de John Hookman, un diplomate britannique, réalisé en 1806 par John Hoppner. Beaucoup des peintures ont été réalisées par des artistes britanniques, comme Henry Moore, Thomas Lawrence et John Hoppner.
Des coutumes anglaises sont représentés dans différents tableaux, par exemple Après-midi d’été en compagnie d’un prêcheur méthodiste réalisé par Philip James de Loutherbourg en 1777. Le méthodisme est un mouvement religieux protestant aux principes très rigides cherchant la pureté dans la doctrine. Or le protestantisme est une des trois branches principales retrouvées dans le christianisme et qui prend une grande place en Angleterre. Aussi, on peut voir le drapeau britannique flotter dans plusieurs des tableaux. Par exemple, dans The Frank off George Island, peint en 1856 par John O’Brien. Le drapeau britannique Red Ensign flotte à l’arrière du bateau clin d’oeil au rayonnement britannique.
Bref, l’influence britannique dans l’art se fait sentir aujourd’hui par l’origine des peintres et des sujets représentés et par les coutumes et