L’intelligence économique
Chapitre 3

Au travers de son ouvrage, Mark Audigier met en avant le principe de « complexité ». Selon lui, il est en effet nécessaire d’inclure les aléas ainsi que les incertitudes qui sont indissociable de la réalité. Donc, Le principe de complexité incite et stimule, afin de déterminer la vérité. C’est la recherche d’une vision et d’une compréhension global du problème aborde ; Audigier recommande alors l’utilisation de l’intelligence économique pour garder une capacité de réaction significative particulièrement face aux nouvelles situations (Menaces, crises…). Malgré cette capacité d’anticipation, il n’en reste pas moins certain que la complexité est sans cesse réalimentée par sa propre évolution.

La crise est une circonstance, elle peut se présenter sous plusieurs formes, plus ou moins soudaine ou encore prévisible. Il s’agit alors de prendre des décisions dans un contexte incertain, avec une possibilité de manœuvre limite avec un temps de réaction rapide et ordonné (communication, analyse, organisation…). L’objectif est alors de « maitriser la crise », l’entreprise se situe dans un environnement très mouvant et très mobile, les facteurs de probabilité sont donc très variable et s’attache a la notion de danger, ils sont déterminé à partir de signaux (faibles ou non) qui permettent de mesurer l’émergence d’une menace. Des menaces qui sont a leurs tours analyser et hiérarchisée (dangerosité et probabilité). Donc, « Gérer la crise, c’est faire face à la complexité dans l’urgence ».
L’utilisation d’une méthode est alors préconiser par Mark Audigier. La méthode s’instaure au travers de directive visant à mobiliser le personnel autour d’actions coordonnées. Le but étant bien évidemment de limiter l’impact de la crise ; L’opération vise également a sortir renforce de l’épreuve auquel est soumis l’entreprise.

« La méthode » de Audigier, s’apparente a une méthodologie collective au sein de l'entreprise visant a « gérer la crise