L'interprétation de la loi
L’interprétation doit être fidèle à la loi, sous peine de dénaturation. Jean Carbonnier considérait que l’interprétation est la forme intellectuelle de la désobéissance. L’interprète à sa disposition des méthodes d’interprétation et des techniques.
Les méthodes d’interprétation
Il y a deux méthodes fard d’interprétation et on à l’habitude de les opposés.
La méthode classique : l’Exégèse
La méthode de l’exégèse est relativement ancienne qui à dominé l’interprétation des textes au cours du 19ème siècle. Cette méthode est fondée sur le culte de la loi, le dogme de la loi ; la loi est sacralisé. Cette sacralisation va conduire à interprété la loi avec le plus grand respect. Quand la loi est claire, il n’y à pas lieu de l’interprété, elle ne donne pas matière à interprétation. Ainsi, ce n’est que si la loi est obscure qu’elle doit être effectivement interprété. La loi claire doit être appliquée, la loi obscure doit être interprété puis appliqué. Quand la loi est obscure il faut dépasser la lettre du texte pour que l’interprète puissent en pénétré l’esprit. Quand un texte est incomplet, imprécis, l’interprète ne doit pas sans tenir à la lettre du texte, il doit rechercher quel est l’intention de l’auteur du texte. Dans une méthode conforme à l’exégèse, l’interprète adopte non pas une interprétation littérale mais théologique, on recherche l’intention véritable. L’interprétation littérale supposerait une interprétation lexicale, grammaticale. Pour certain juriste, l’esprit l’emporte sur la lettre. Ce culte va s’évanouir au fur et à mesure que les codes napoléoniens veillissent.
La méthode moderne : la libre recherche scientifique
C’est une méthode que l’on doit à un auteur du 20ème, François Gény. Cet auteur à effectué un certains nombre de critiques sur la méthode précédente.
Il y a eu trois critiques principales : -il est vains de recherché l’intention du législateur au 20ème siècle lorsqu’il s’agit d’un