L'optimisme
Voltaire dénonce l’optimisme notamment grâce au personnage de Pangloss, il le rend ridicule. Ce philosophe, maître de Candide a une théorie très absurde comme quoi « il n’y pas d’effets sans causes ». Voltaire se moque de cette thèse et la met en contradiction avec l’horrible réalité du monde. Il nous montre tout au long du livre que les théories de Pangloss le pousse a dire des choses et a faire des choses de plus en plus absurdes. Par exemple, au chapitre IV alors qu’il est tombé malade, qu’il a perdu une oreille, un œil, il dis que « tout cela indispensable, et les malheurs particuliers font le bien général, de sortes que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout est bien. » Ici Pangloss énonce la solution du problème du Mal que propose Leibniz dans sa philosophie optimiste. On voit aussi dans le chapitre XXVIII, que malgré toutes ses mésaventures, après avoir « été pendu, disséqué, roué de coups » le personnage n’évolue pas du tout « je suis toujours de mon premier sentiment répondis Pangloss car enfin je suis philosophe, il ne me convient pas de dédire, Liebniz ne pouvant avoir tord, et l’harmonie préétablie (d’origine divine) étant la plus belle chose du monde, aussi bien que le plein de manière subtile. » Il rend ce personnage détestable, le tourne en ridicule pour dénoncé l’optimisme, il se sert de lui pour caricaturé son adversaire (Liebniz), il déforme la pensée de celui-ci, se moque de ses idées.
Tout le roman de Candide repose sur une réflexion de Voltaire sur l’optimisme, même si celui-ci au début de sa vie était un grand optimiste, après des malheurs dans sa vie personnelle et des catastrophe dans le monde comme le tremblement de terre a Lisbonne(1755) ou la guerre de Sept ans entre la Prusse et les autres pays européens, il change de point de vue. Il rejette la philosophie de l’optimisme car pour lui elle ignore les souffrances humaines et justifie le Mal par la volonté divine. Et Dans