L'union libre lecture analytique
* Née en février 1896, André Breton est le chef de file du surréalisme, à la fois par son
Originalité et son charisme.
Il s’inspire de Mallarmé, Lautréamont, Rimbaud.
A la fin 19ème début 20ème siècle, les surréalistes cherchent un nouveau langage poétique libéré de toute contrainte et qui laisse s’exprimer l’inconscient.
Clair de terre est un recueil écrit en 1923, juste après le second manifeste du surréalisme.
Le poème L’union libre témoigne avec insolence de sa rupture par rapport aux conventions et de la place centrale accordée à l’amour et à l’érotisme.
Dans ce poème il illustre parfaitement le surréalisme qui vise a libéré la création de toute contrainte et logique.
L’union libre est un poème en vers libre construit su une anaphore.
Nous voulons savoir en quoi ce poème est-il l’illustration de la poésie du surréalisme ?
Dans un premier temps notre analyse portera sur le blason de la femme bien aimée et dans un deuxième temps nous étudierons les caractéristiques surréalistes de ce poème.
I. Un blason réactualisé 1) Evocation du corps de la femme
Le narrateur met en avant l’évocation du corps de la femme avec l’anaphore initiale Ma femme et le possessif « MA » est présent dans tout le poème.
La description de la femme et fait tout au long du texte mais de manière désordonné, du vers 1 à 5 ces la description de la chevelure et de la taille qui sont comparait « au feu de bois », à la « taille de sablier », « de loutre entre les dents du tigre ».
Du vers 5 a 14 le narrateur parle principalement du visage et de la tête de cette même femme avec la bouche comparait a « une cocarde » ces dent comparait au « souris blanche, sa langue a « une ambre » et « d’hostie poignardé », pour finir il dit que sa « femme aux cils de bâtons ».
Les vers 15 à 24 décrit de l’épaule au doit avec « les épaule de champagne » , « ma femme au poignet d’allumette » et « ma femme au doigts de foin coupé »
Le vers 25 à 29 compare les