L'utopie thomas more
Support: L'Utopie, Thomas MORE
Introduction:
Étymologie du grec topos, soit « qui n'existe pas ». Ce thème apparaît avec Thomas MORE dans son ouvrage (rédigé en latin): L'Utopie ou plus précisément Utopia, en 1516 le titre exact était « De optimo reipublicae statu deque noa insula Utopia »; ( Au sujet de la meilleure forme de l'état et de l'ile nouvelle qu'est Utopia). On trouve dans toute Utopie, une satyre. L'ile rappelle l'Angleterre de Thomas MORE, il n'est pas satisfait de l'endroit dans lequel il vit, ce qu'il fait comprendre de manière implicite ou explicite. L'ile vit en autarcie et se prête au système utopique: créer son propre système,. On ne peut situer l'ile ce qui lui donne cet aspect idéal. Il s'agit d'un régime politique dont la pratique (d'après la théorie initiale) n'est pas perfectionné.
La Satyre Une société inégalitaire
La satyre est présente par les termes péjoratifs comme l.9 « Les hommes qui ronflent », puis l.12 « leurs valetaires, cette ile de faquins […]. L'auteur s'y inclut il considère qu'il est responsable des autres avec l.17 « nous », le nous inclusif et l'utilisation du présent. Aux valeurs actuelles, il impose de nouveaux principes fondés sur la nature avec à la l. 289 « naturel ». Sa philosophie est proche des épicuriens « vivre selon la nature ». IL regrette le monde de l'argent, l.29 « du luxe et du plaisir » car il ne profite qu'a une minorité, qui exploite les ouvriers d'où la disproportion entre l.19 « multitude d'ouvriers » et et ce qu'ils produisent « des objets superflus », objets réservés aux plus riches ceux qui en l'occurrence exploitent l.24 « le travail des autres ». Contrairement aux épicuriens il regrette l'oisiveté et la condamne 2nd paragraphe « pour la troupe des prêtres » associé à « oisifs », même allusions pour les riches l.23 et 24 « cette masse qui s'engourdit dans l'oisiveté et la fainéantise ». il souhaite une égalité dans l'acquisition des biens pour le bien de