L'étranger
Première partie 1. chapitre 1 :
Le narrateur, Meursault, employé de bureau à Alger, vient de recevoir un télégramme lui annonçant la mort de sa mère. Il prend l’autobus pour se rendre à l’asile de vieillards, non loin d’Alger, à Marengo. Il demande à son patron si il peut prendre congé 2 jours. Il pense que le patron ne peut pas lui refuser une excuse pareille mais le patron n’a pas l’air content. Pour lui en ce moment, c’est comme si sa maman n’était pas morte.
Meursault a mangé chez Céleste qui a beaucoup de peine pour lui. Plus tard il monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard pour l’enterrement.
Après le trajet d’Alger à Marengo, il va à l’asile. Il veut voir sa maman. Le concierge lui a dit qu’il fallait voir avec le directeur. Il discute avec le directeur de l’asile. Il se rend à la morgue (Totenkapelle), le concierge vient et lui demande si il veut voir sa maman. Il refuse de voir le corps de sa mère.
Il a une conversation avec le concierge, accepte une tasse de café au lait et fume.
Plus tard, les amis de la maman rentrent dans la morgue. Ils pleurent, et Meursault les trouve bizarres. Il participe à la veillée funèbre en compagnie des amis de la maman. Meursault les trouve bizarres, il assimile le lieu à un tribunal (”J’ai eu l’impression ridicule qu’ils étaient là pour me juger”) (Meursault sieht die Totenwache wie ein Gericht).
Le lendemain matin, il doit signer quelques documents chez le directeur. Il lui demande, si il veut voir sa maman une dernière fois. Il répond que non. Le cortège (Beerdigungs »umzug ») se met en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault fait la connaissance de Thomas Pérez, l’ami de sa mère. Le soleil tape beaucoup et le soleil est beaucoup mentionné. Il parle avec une infirmière qui parle aussi du soleil. Mais pour Meursault, on ne peut pas fuir du soleil. Après la cérémonie à l’église puis l’enterrement au cimetière, Meursault ressent un