L'évolution de la figure de l'indien dans le cinéma d'hollywood
Au début des années 50, le cinéma d’hollywood va subir une vague de films dit « pro-indiens », ces films nous montre une image nouvelle de l’indien d’Amérique. Comparé a la première vague des films dedié a l’indien qui nous presenté une figure de sauvagerie et de violence envers cette autochtone, les films pro-indiens nous proposent un indien paré de vertus et de bonté. On remarque que dans beaucoup de ces films pro-indiens , des hommes blancs s’integrent dans une tribu, ou il y deviendra un membre important et la protegera des americains visant a la detruire (the broken arrow de Delmer daves ; Little Big Man de Arthur Penn ou encore Danse avec le loups de Kevin kosner ). Tous ces films deffendent la cause indienne en Amérique et denonce le racisme et l’injustice subitte par ce peuple. Dans la quasi totalité de ces films, le héros tombe amoureux d’une indienne de la tribu dont il a été affécté. Des films pro-indiens se consacre parfois entierement a des amours dificiles entre un blanc et une indienne, comparé a d’autres où l’histoire d’amour est secondaire. Dans les deux cas ces histoires d’amours vont jouer un rôle important dans le mouvement pro-indiens puisque qu’elle nous montre une attirance de l’homme blanc vers une indienne avec qui il n’a aucunnes ressemblances ou liens apparant et que tout oppose.
Voici la liste des films Pro-indiens depuis 1950 :
1950 | DAVES Delmer | éu | La Flèche Brisée (Broken arrow)
Le chef apache Cochise est présenté comme un chef respectable, alors que la trahison provient du pouvoir « blanc ». Une liaison « mixte » est même possible entre Sonseeaharay – Étoile du matin et Jeffords - James STEWART. Il faut noter que Jeffords est un blanc fortement indianisé, et respectueux des coutumes amérindiennes. | 1950 | MANN Anthony | éu | La Porte du Diable (Devil's Doorway)Un officier d’origine amérindienne, héros de la guerre de Sécession rentre chez lui pour découvrir spoliation et racisme.