l'éloge de la femme
Le premier poème qui dresse un éloge de la femme commence en 630 avant JC, avec la poétesse Sapphô car la femme attire aussi bien les hommes que les femmes. Dans son poème, « A une aimée », il est question d'un sourire et d'une grâce qui paralyse tout le sens de la poétesse et éveil en elle un feu de passion. Bien plus tard, en 1829 Alfred de Musset écrit « l'Andalouse » car toutes les femmes du monde possèdent une beauté propre à leurs origines, il nous décrit une femme à la sensualité impertinente avec une « chevelure qui l’inonde » et de « grand sourcils noirs » qui nous entraîne dans un cadre exotique propice à la passion. En 1841 on retrouve deux poèmes où la femme apparaît comme un être indispensable pour le monde, un être de douceur qui dompte le cœur des hommes, un être de beauté « qui charme ou rêve » il s'agit de « Les femmes sont sur la terre » de Victor Hugo et « Une femme est l'amour » de Gérard de Nerval. Charles Baudelaire continue ce voyage parmi les plus somptueux poèmes sur l'être féminin en nous emportant avec deux poèmes de son recueil Les fleurs du Mal publié en 1857 « La Beauté » et le « Serpent qui danse » Dans ce deuxième