Affaire Dreyfus

L’Ile du Diable

Appelé comme stagiaire à l'état-major de l'armée le 1er janvier 1893, Alfred Dreyfus croit que s'ouvre pour lui une carrière brillante et facile dans une France démocratique. Mais, en quelques trimestres, il sent les réticences de certains chefs de bureaux, anciens de l'école d'application d'état-major et fervents d'une cooptation favorisant les saint-cyriens.

Dreyfus, après ces accusations d’espionnage, est donc dégrader par ces supérieurs ( épée briser et il lui arrache les gallons )

Cette fiche intitulé « le bordereau » écrit pas un espion Français au service des Allemands contenant des informations sur l’artilleries, les troupes francaises et sur Madagascar est retrouver dans une poubelle par une espionne Francaise qui était femme de ménage. Au début Dréfus est accusé d’avoir rédigé cette lettre et est donc accuser d’etre l’éspion
Après que Dreyfus est perdu son épée et les gallons il fut exiler dans l’Ile du diable en Guyane, sous la surveillance d’un gardien condamné a y résider pendant 5 ans
George Picquart chef du service secret militaire Français devenu Dreyfusard après avoir identifier Esterhazy comme auteur du bordereau. Il est envoyer en Tunisie en Janvier 1897 pour avoir pris partit pour Dreyfus

Adjoint du colonel Sandherr à la Section de statistique, Hubert Joseph Henry, laborieux artisan des faux les plus célèbres de l'affaire Dreyfus, était né à Pogny, dans la Marne, le 2 juin 1846. Il a fabriquer de faut télégramme qui devait compromettre le colonel Picquart et, dès 1896 il confectionne une fausse lettre de l’attacher militaire Italien a son collègue Allemand, lorsque le caractère de faux est découvert le colonel Henry est mis au arrêt dans le fort du mont valérien, le 30 aout 1898, il est découvert le 31 vers 5H du soir la gorge trancher, ce texte annonce son suicide