La guerre : qu’elle soit civile, révolutionnaire, … ce n’est qu’un conflit armé entre deux camps adverses.
La guerre a toujours un but que se soit pour des valeurs ou des ressources, celle-ci est toujours accompagné de morts et de tristesse.
Dans cette thématique, une citation de Chamberlain nous questionne : « Dans une guerre, quel que soit le camp qui puisse se déclarer vainqueur, il n’y a pas de gagnants, il n’y a que des perdants »
La guerre est souvent synonyme de perte que se soit matériel ou humaine.
Les guerres supportent-elles toujours que des causes honorables comme la liberté ?
Les supposés gagnants ont-ils vraiment acquis quelque chose ?

L’Histoire est remplie de récits de guerre : les guerres ont toujours été le principal moyen pour les nations d’acquérir de nouvelles terres ou des ressources supplémentaires. La bataille de Poitiers en 732 durant la quelle s’affronta l’armée de Charlemagne contre celle des Maures est un bel exemple de guerre dont l’objectif est l’agrandissement du territoire. Les Francs voulaient arrêter l’expansion du royaume arabe qui menaçait leur contrée. Le gagnant acquière de nouveaux territoires.
Généralement, dans l’Histoire, «territoire » rime avec « pouvoir » c’est-à-dire que lorsqu’un pays agrandit ses horizons, celui-ci augmente aussi son pouvoir et sa puissance par rapport aux autres nations.
Certains affrontements ont pour but d’obtenir plus de droits. Ces guerres peuvent être appelées des «guerres civiles » car ce sont habituellement des citoyens d’une même patrie qui se battent soit pour avoir plus de liberté, d’égalité,… soit pour garder leurs privilèges et leurs pouvoirs.
La Révolution du Jasmin qui a commencée au printemps 2011 et qui continue encore l’illustre bien :

A la fin des affrontements, les deux camps que soit les battus ou les gagnants, ont perdu des hommes, de l’argent ... Tous les moyens mis en place par les vainqueurs ne leur seront souvent pas totalement restitués. Les deux