L'histoire du manga
Son étymologie « manga » souvent traduit littéralement par « image dérisoire » ou « dessin non abouti », est composé de « ga », qui désigne la représentation graphique (« dessin », « peinture » ou toute image dessinée - comme l'estampe), et « man » , « involontaire », « divertissant », « sans but », mais aussi « exagérer », « déborder » (qui peut être interprété comme caricature), ainsi qu'« au fil de l'idée ». On pourrait aussi bien traduire ce mot par « dessin au trait libre », « esquisse au gré de la fantaisie », « image malhabile » ou tout simplement caricature ou grotesque.
Le mot « manga » en français
Le mot « manga » est pleinement intégré dans la langue française, comme l'atteste son intégration dans les dictionnaires usuels. Ceux-ci le donnent comme masculin contrairement à la langue japonaise, eux n'ont pas de genres grammaticaux. « Manga » s'écrit : mangas au pluriel, selon la règle du pluriel des mots étrangers intégrés dans la langue française (les dictionnaires actuels ne considère d'ailleurs pas le mot comme invariable).
La notions de manga
Le manga est en quelque sorte dirigé par 2 personne :
- Le mangaka : Il s’agit de l’auteur de son propre manga il doit « alimenter » les revues de prépublication, cela représente environ une quinzaine de pages a crée chaque semaine. Pour pouvoir tenir un bon rythme par rapport a la réalisation de son manga, le mangaka s’entoure de 3 à 10 assistants pour pouvoir l’aider à gérer son œuvre, ces assistants s’occupe de dessiner les décors et les personnages secondaires, et d’autres s’occupe de trame ou d’onomatopées. Pendant ce temps, l’auteur s’occupe de travailler le scénario ainsi que de crayonner les personnages importants.
- L’éditeur : C’est la personne clé du manga. C’est lui que le marché est prêt pour tel ou tel scénario, tel ou tel héro. Guidé par les votes des lecteurs, il peut faire modifier le scénario d’une série. Il met une grosse pression sur les mangakas : si les lecteurs