L’homme est sa propre vitesse.

A l’heure actuelle, tout le monde vit sous la pression, tout le monde se dépêche sans se soucier du reste. C’est pour cela que nous allons tenter de répondre à ces deux questions à travers une synthèse de documents ; « Pour quelles raisons les auteurs critiquent t’ils la société de la vitesse ? et pourquoi rejettent-ils le progrès ? ». Les différents auteurs qui aborderont ce sujet sont ; Alain, P.Morand, P.Sansot et J-M Domenach.

Tout d’abord, Alain soumet que c’est une erreur de notre temps de parcourir celui-ci à toute vitesse comme le fait la jeunesse actuelle. Plus personne ne prend le temps de voir les choses telles qu’elles sont tellement la société vit rapidement sans s’attarder sur certaines choses. Pour la plupart des gens, la routine d’aujourd’hui ressemble à; Métro, boulot, dodo. Rien ne change mise à part la météo. Ils vivent une vie monotone dont ils ont été habitués dés le plus jeune âge pour, encore et toujours, gagner plus.

Ensuite, tout comme Alain, P.Morand écrit que peu de personnes de nos jours pensent encore à s’accorder du temps. Mac Orban l’a fait remarquer ; Il n’y a que la vitesse qui compte. Il ne faut quand même pas oublier que la vitesse affaiblit fortement. Prenons l’exemple d’un sportif de haut niveau, la vitesse lui fait peur car elle est incontrôlable. Ils n’ont plus de limite. Ils veulent toujours faire mieux pour battre le record de l’autre. Celui-ci est donc infini et le monde entier se bouscule pour atteindre un nouveau record. Malgré tout, nous restons maître de notre corps et le repos nous appartient quand nous le désirons.

D’autre part, P. Sansot nous fait constater que la lenteur c’est une forme de tendresse, de respect dont nous possédons tous. Cet auteur s’est promis de vivre lentement et de voir passer tous ses âges. Cependant, il est clair que la lenteur ne vient pas du caractère mais c’est tout simplement un choix de vie. Il déclare que si nous ne sommes pas capable de suivre un