L Hu Tre Et Les Plaideurs Relever Pr Cis
2 mots sans rapports.
2 univers différents : végétal # humain, justice # plaideurs.
Ironie => absence de relation logique entre les 2.
Les plaideurs sont associés à quelque chose de sérieux en opposition avec l'huître qui est plutôt dérisoire.
II) La forme
Alexandrins et octosyllabes, 25 vers.
3 sortes de rimes + particularité du vers 18.
Récit ironique, côté ridicule :
Récit car :
Plusieurs parties distinctes.
1ère partie situation initiale.
On annonce les personnages au V1 « deux pèlerins », repère spatio temporel V1 « un jour »,
« le sable », puis l'objet du litige « l'huître ».
Ironique : Chiasme, qui le renforce.
V3 : 1er hémistiche => sujet verbe complément } } symétrie => complément sujet verbe } Objet de la dispute : une huître. Distance entre l'objet et les réactions provoquées.
V11 : « Dieu merci »: autorité suprême.
V13 : « sur ma vie » : il jure. Perrin joue le jeu d'être comme font les juges.
V16 à 17 : « pour jugé », « fort gouvernement » ; V19 « président ».
Alors que les circonstances ne le justifient pas, il n'est question que d'une huître. Il ridiculise les 2 pèlerins => il ne fait que suivre leurs comportements. Pèlerins = connotation religieuse, donc normalement charité chrétienne mais paradoxe car ils se disputent et ne veulent pas partager : on se moque. V15 : « bel incident » doute du sens de l'adjectif.
« bel » => ironique, plutôt un incident mesquin: antiphrase. Ils se ridiculisent par leur entêtement à ne pas réagir, attitude enfantine. Manière dont sont nommés les pèlerins.
V1 : « 2 pèlerins, V3 « ils » = ensemble, V5 et 6 « c'est un, l'autre » = opposition, V7 « nous
», V11 « compagnon ».
Personnages méprisables dans leur égoïsme.
III)