louis aragon est un ecrivain du 19 ieme siecke beau gentil con debile quoi he je kezalmp ji kpoilbgfs zeyxcsd zehdfa klklpos gataraiao heyeieeoep jdud jiolksq auaja lop mkhst dlzed dlied, sazdé zerft zer !mzekr "ledfj azedh jdzeop opd azehl azhjsd zh zasd azsd azsd a dihazsd azsd d dddd eeeeqaxs zedf frtrg kkkf o ozdeo*ùed jfoe'kd é"rjùazd "zj ejù&'rjop &é"e' pour la poule me vhi mlk pour la poule pour le coq opour le chien pour les gens pour moi pour eux pour les autres pour rien pour le soliel pour maman pour papa pour tata pour paulo pour laly pour diana la reine lol pour quoi pour mdr pour ah balle ballon lbalais jdpeehb nouis monpour teres a haiatyui haoap poiur zlpms ahauajaol joie joyeux pourquoi poue la mama pour tres fegui loikju paoaua maamma griazebj zeri joire joiuyt freaa hiop mljgf gtyyuu ,,,,,kop lmhgfdert huiokht hjkopl lpoiytr gyuuio mljhgf la mopjhtredfghjj lpojb Depuis de longs mois, Nokia est à la traîne derrière les iPhone d'Apple et autres smartphones, notamment ceux fonctionnant sous Android de Google, des appareils nettement plus rentables que les téléphones du géant finlandais. Sa part de marché dans les mobiles (smartphones compris) est d'ailleurs tombée au premier trimestre à son plus bas niveau depuis quatorze ans, a mesuré Gartner.

L'arrivée à sa tête en septembre d'un nouveau capitaine, le canadien Stephen Elop, pourtant partisan d'un véritable électrochoc dans l'entreprise, n'a pas suffi à le remettre sur les rails. L'annonce, en février, d'une alliance dans les téléphones portables avec Microsoft n'est pas parvenue à rassurer les investisseurs, au contraire. Car le partenaire choisi par Nokia pour l'aider à remonter la pente dans les smartphones n'est pas non plus en grande forme : il a vendu un peu moins de Windows Phone équipés de la nouvelle version de son système d'exploitation maison au premier trimestre 2011 qu'à la même période l'an passé, alors que le marché des smartphones a, lui, doublé. Et leur premier téléphone