L'ingénu, personnages
Alice Rivaz, Le chemin des amoureux
(pp.38 à 40)
Résumé
Analyse
1. Les sentiments à travers les gestes et l’attitude des corps
1.1. L’utilisation d’adjectifs et d’adverbes : la douceur Doucement se posent toujours ses mains…(pp.38- ligne 3) …la fraîcheur de la nuit posée sur ses lèvres…(pp.38-ligne 15) la force
Denis se penche brusquement…(pp.38-ligne9)
Maintenant sa bouche n’est plus seule, mais pressée et broyée. (pp.38- linge 17) Et même ses oreilles reçoivent quelque chose de doux, de pressé, de murmurant ! (pp.38-ligne 24)
Aucune place de son corps n’est plus seule, chacune est entourée de tous les cotés, enveloppée, serrée, tenue. ( pp.38-linge 19)
2. Figures de style
2.1 Personnification Maintenant elle lève les bras aussi haut que le veulent les mains. (pp.38-linge 6)
2.2 Comparaison C’est comme si elle était entourée de colliers, comme si un nouveau vêtement était cousu sur sa robe (pp.38-linge 8 du bas)
2.3 Répétition de ses propres mots
Elle est presque sûre, en somme… presque sûre (pp.38- la dernière lige)
Je croyais que vous alliez toujours tête nue, balbutie-t-elle… Je croyais que vous alliez toujours tête nue ? bafouille-t-elle encore. – Presque toujours, mon amour, presque toujours… répond-il. (pp39-40)
2.4 La question rhétorique
Tiens ! Il s’est mis à pleuvoir. Mais n’avait-elle pas souhaité la pluie ? (pp.39-linge 3)
Et puis, tous les bérets basques ne se ressemblent-ils pas ? (pp.39 -40-linge 1)
3. Les relations entre homme et femme c’est un éternel balancement
Comme si on était jamais sûre de quoi ce soit dès qu’il s’agit d’un garçon. Et qu’on l’aime. ( la fin)