L'inspection du travail
Introduction : Les flux d’argent depuis la Chine, ne cessent de croître depuis 2005. Pourtant, cela n’est pas suffisant compte tenu du fort partenariat entre la France et la Chine. La France, qui a besoin de ces investissements étrangers, pour réduire son déficit commercial, investit tout de même à l’international. Les investissements sont le moteur de l’économie.
Au sein même de la conjoncture économique actuelle difficile, est-ce que la France devient dépendante des investissements étranger, notamment chinois ?
I. La France, un pays séduisant pour les capitaux étrangers
A. Les investissements chinois en France
Le montant total des investissements chinois a fortement augmenté entre 2005, où il représentait 250 millions d’euros et 2012 où on relevait 3,5 milliards d’euros. Cependant, ils ne représentent que 0.8% des investissements étrangers en 2012. La Chine, qui investit dans les grandes entreprises françaises notamment chez PSA Peugeot-Citroën ne représentent qu’environ 4 milliards d’euros. Ce qui est peu par rapport au déficit commercial français qui s’élève à 21,6 milliards d’euros en 2014.
B. Une nation qui attire
La France attire les investisseurs chinois de part son secteur industriel. En effet, on dénombre beaucoup de grandes entreprises dans les secteurs du transport, de la santé ou encore de l’énergie. Le marché du luxe, qui n’est pas encore assez développé, attire les pays étrangers. Cependant, elle progresse plus lentement que l’Allemagne et le Royaume-Uni et n’offre pas assez d’emplois par rapport à ses concurrents. Les investisseurs étrangers ont tendance à se tourner vers eux car la main d’œuvre y est moins chère et le marché du travail plus flexible.
II. Une alternative aux investissements extérieurs
A Les investissements français à l’échelle nationale
Certaines entreprises se risquent encore à investir en France, notamment dans le secteur des services ou